Articles de alliancecoaching17
Perles de harpe
Voici un des morceaux qui m'accompagnent pendant que j'écris ; en ce moment, c'est sur l'Ecosse et une harpeuse nommée Shanya, c'était donc tout trouvé !
Merci à l'artiste Lydwen pour ce court extrait !
Petite semaine en Irlande
De retour d'une petite semaine de vacances en Irlande où nous avons fait le Sud : de Cork à Killarney pour aller rejoindre mon fiston qui travaille là-bas.
Juste magnifique ! Des paysages à couper le souffle : la côte déchiquetée battue par des vagues ourlées d'écume, des lacs où se mirent les montagnes alentour, des patchworks de couleurs, et...du soleil, mais oui, tous les jours, avec aussi... un peu de pluie, tous les jours Des gens accueillants et infiniment courtois, naturellement gentils et des visites super intéressantes : une distillerie de whisky, Muckross House (manoir victorien), Blarney Castle et son parc merveilleux, le Ring of Kerry (attention aux routes, très peu larges, sans bas-côtés, sans fossés, bordées au mieux de haies, au pire de murets de pierres sèches
!)
Bref, nous sommes revenus conquis et prêts à y repartir dès que possible, ne serait-ce que pour aller voir "l'enfant" chéri !!
Muckross House Blarney Castle Blarney Castel Lacs de Killarney
Mademoiselle dite Coco de Madeleine Manset-Berthaud
Editions De Borée - Collection Terres de Femmes - Juin 2013 - 380 pages
Résumé
Gabrielle Bonheur Chasnel est devenue la grande prêtresse de la mode et n'a plus rien à prouver. Chacune de ses créations déclenche tout à la fois scandale et engouement.
Mais celle que l'on surnomme Coco n'en demeure pas moins femme et ne peut se consoler de la perte tragique de son amant. En cette époque de bouillonnement intellectuel, elle retrouvera à force de talent le goût de la vie pour s'imposer comme l'une des plus grandes figures du XXe siècle.
Mon avis
L'auteur a pris le parti de parler de Coco et de ses amours, dans la période de l'entre-deux guerres, en gros sa période slave et sa période anglaise.
Boy vient de mourir, Coco est désespérée - il voulait l'épouser-, même son travail ne parvient pas à la faire sortir de son chagrin. Misia, la fidèle amie, lui fait rencontrer Maria, une russe exilée et son frère Dimitri Pavlovitch, grand duc ruiné. Commence alors une période amoureuse faste, Dimitri lui apportant la jeunesse, elle le soutien financier. La créativité de Coco est en plein essor : pantalon pour femme, petite robe noire, parfum n°5, elle ose tout et tout lui réussit. Elle séduit la communauté russe en exil et l'ambiance est à la fête dans son domaine de Garches où elle héberge Igor Stravinski et sa famille. Le malheureux musicien a des vues sur elle, mais ce n'est pas réciproque : elle privilégie Dimitri et sa jeunesse.
Les deux amants se quittent bientôt sans histoire, avec de beaux souvenirs, lui épousant une américaine, elle devenant la maîtresse d'Arthur Grosvenor, aristocrate anglais. Avec lui, c'est l'argent qui coule à flots, les cadeaux, les fleurs, les folies, la fête. Elle invente le chapeau cloche, relève les défis face aux nouveaux créateurs de mode, vend Garches, invente les congés payés pour ses cousettes et mannequins dans une villa qu'elle a achetée à Mimizan, achète ensuite à Roquebrune - elle a eu un coup de coeur-, mais à 42 ans elle ne donne pas d'enfant à Benny qui la quitte pour épouser une jeune héritière.
En fin de compte, la belle n'est pas de celles qu'on épouse : pas de passé, sinon modeste et une indépendance, notamment financière qu'elle n'est pas prête à abandonner. Son travail passe avant tout...
Un très beau portrait pour une personnalité courageuse, cachant ses blessures intimes sous un masque de femme forte, voire impitoyable, mais d'un bel humanisme.
J'ai aimé cette lecture, dans ce domaine du luxe et de l'argent, au gré des voyages de Coco et ses amants. J'ai découvert beaucoup sur cette grande artiste qui avait dans sa "bande" Cocteau, Picasso, Lifar, Diaghilev, Stravinski, Churchill... autant de grands noms de cette époque riche en avancées tant sociétales que technologiques.
A découvrir et à apprécier !
Romances de l'été
Comme chaque été, j'ai ma période Harlequin : pas de prise de tête, pas de méningite à réfléchir au pourquoi du comment, tout le monde il est beau, tout le monde il s'aime, c'est magique !!
J'ai donc lu sur ma tablette en édition numérique :
- Une héritière pour les Sabbatini de Mélanie Milburne
- Le secret de Rebecca de Tessa Radley
- Retour au Maryland - 1 Les liens du passé et 2 La rage au coeur de Nora Roberts
et j'en ai encore quelques-uns en réserve...
Je suis vivant et vous êtes morts d'Emmanuel Carrère
Editions Points2 - 25 avril 2012 (édition originale 1993) - 622 pages
Résumé
L'existence de Philip K. Dick, célèbre auteur de science-fiction, fut un tourbillon psychédélique. Névroses, phobies, paranoïa nourrissent son imagination créatrice centrée sur une question récurrente : sommes-nous réels? Dick est convaincu que non. Les nombreux détails de sa vie permettent de mieux comprendre les dérives de ce génie qu'on disait fou.
Mon avis
J'ai acheté ce tout petit livre (12cm x 8cm) l'hiver dernier et depuis il me faisait de l'oeil, perché tout en haut de ma PAL. Le format m'avait attiré l'oeil à la librairie, le fait qu'on le lise dans le sens horizontal aussi. Et puis une bio de Philip K.Dick 'dont j'ai lu plusieurs romans il y a quelques années) me tentait bien.
J'étais loin de m'imaginer à quel point cet homme était "perturbé" (qu'en de termes élégants, ceci est dit !!). Accro aux amphétamines pour pouvoir écrire vite et beaucoup, mais aussi aux calmants, il a tenté l'acide (LSD) qu'il a eu du mal à lâcher ensuite, il a collectionné les femmes, eu 3 enfants si mon compte est bon.
Grand malade psy, il a cependant eu des fulgurances qui lui ont fait écrire plusieurs romans, repris au ciné ensuite dont Blade Runner, Total Recall, Minority Report, excusez du peu !...
J'ai trouvé cette bio passionnante et infiniment respectueuse de la personne de PKD, écrite dans un style soigné et je me suis étonnée de lire aussi vite ce petit pavé, tellement l'auteur m'a embarquée (....hypnotisée ???)
La fille du loup de Barbara Wood
Editions Presses de la cité - 5 juillet 2012 - 407 pages - Traduction de Florence Bertrand
Résumé
Rome, 54 après J.-C., sous le règne de Néron. Depuis son enfance, Ulrika, jeune fille de dix-neuf ans, a des hallucinations et des prémonitions. Une nuit, elle fait un rêve étrange où lui apparaît un loup. Elle l’interprète comme un présage, « Wulf » étant le prénom que portait son père, mort lorsqu’elle n’était encore qu’un enfant – c’est du moins ce que lui a dit Sélène, sa mère.
Un soir, lors d’un dîner officiel, elle rencontre le commandant Gaius Vatinus, un valeureux guerrier amené à diriger l’armée romaine contre les Germains. Si Ulrika apprécie la compagnie de cet homme, ce n’est pas le cas de sa mère qui la met en garde car, il serait responsable de l’arrestation de Wulf et du pillage de leur village. Sélène révèle enfin la vérité à Ulrika : son père est toujours vivant et a fondé une famille en Germanie, tout en ignorant qu’à Rome il avait une fille. Ulrika décide alors d’entreprendre un long voyage en terres barbares afin de retrouver son père…
Mon avis
Quête pour Ulrika en rapport avec ses dons qu'elle ne s'explique pas et qu'elle ne sait comment exploiter ; quête pour Sebastianus le galicien qui pense que son destin est de voyager, de découvrir, de commercer. Ces deux personnages nous entraînent dans leur sillage de Rome à la Rhénanie, de Babylone à la Chine, en un temps où les voyages pouvaient prendre des années, ce qui nous laisse songeurs à nous qui allons toujours plus vite, toujours trop vite...C'est dépaysant à souhait, on a le sentiment d'avoir changé de monde en un millénaire et demi !
Les personnages de l'histoire sont plaisants, se remettent en question, tentent d'avancer sur le chemin de la vie, pourtant hérissé de bien des obstacles ; quant à ceux de l'Histoire, ils ne sont pas toujours jolis, jolis, mais ceux de notre époque le sont-ils davantage ?
Un très beau roman que j'ai lu en m'y plongeant sans retenue, emportée par le souffle épique de la plume de l'auteur. Pas de longueurs, du rythme, un excellent moment de lecture !!
La solitude des soirs d'été d'Anaïs Jeanneret
Editions Albin Michel - 10 mai 2013 - 231 pages
Résumé
Alda a le charme insaisissable et irrésistible des gens que la vie a comblés. Une assurance qui fascine aussitôt Louis, jeune écrivain en herbe qui voit en elle toutes les héroïnes de roman dont il a rêvé pour échapper à sa propre vie. Celle d’un fils d’émigrés hispano-russes au parcours cabossé.
Dans la luxueuse bastide provençale où elle l’a invité à passer quelques jours, Louis l’observe secrètement. Mère aimante, épouse parfaite, amie idéale, Alda rayonne d’une douceur et d’une beauté qui apparaissent comme un rempart contre la fureur du monde. Pourtant, Louis devine chez elle une fêlure profonde, une impatience qui ne demande qu’à s’exprimer et qui l’attire irrésistiblement. Et si tout l’oppose à cette femme qui ne lui appartiendra jamais, rien ne pourra empêcher la dangereuse évidence.
Dans ce roman d’apprentissage, Anaïs Jeanneret évoque avec sensualité et élégance un univers fitzgéraldien à la fois enchanteur et mélancolique, dans une évocation subtile du passage à l’âge adulte, des rêves et des promesses sacrifiées.
Mon avis
On se laisse prendre à cette atmosphère à la fois pleine de charme mais aussi de langueur, de mélancolie. Chacun cache ses blessures derrière une façade de convenance pour que rien ne rompe l'harmonie.
Réflexion sur le passage du statut de grand adolescent à jeune adulte, d'adulte à presque-vieux, sur ce que l'on fait de ses rêves en grandissant, sur comment on s'arrange avec les évènements qui jalonnent notre vie, sur les vraies-fausses amitiés cultivées on ne sait trop pourquoi.
Ca a parfois un côté doux-amer, mais le livre refermé, restent la douceur, la sensualité, la poésie des images.
A lire ! paresseusement installé(e) sur un transat, sous le soleil de juillet...
Vacances !!!
Traditionnellement, l'étape du 14 juillet du Tour de France marque mon entrée dans la période de vacances d'été. Quatre semaines à ne plus sentir peser les responsabilités, à ne plus penser profs, élèves, parents...un vrai bonheur !
Il faut dire que plus les années "tournent" et plus la pression se fait sentir, des usagers comme de la hiérarchie. Quelques années encore à tenir avant de passer à autre chose... Je n'aurais jamais imaginé en arriver là un jour, dans ce métier qui pour moi est une passion ! et je ne suis pas la seule à penser cela, ainsi que constaté lors de notre repas annuel de fin d'année entre collègues. C'est bien triste, je trouve.
Ca s'explique comment, ce "désamour" ?
*Les réformes se succèdent, se parent des atours de la vertu et de la nouveauté, alors que la seule idée est de faire toujours plus avec toujours moins, donc toujours plus mal dans l'intérêt de nos petites têtes blondes. Le problème c'est qu'il n'y a que les établissements qui se serrent la ceinture, pris en sandwich entre ministère et collectivités locales, et qu'il n'y a qu'eux qui trinquent en cas de problème....
*Les familles ne nous font pas confiance et nous reprochent de dire "non" à leurs chérubins quand, elles, ne savent plus le faire, et qu'elles défendent jusqu'à en faire des enfants-tyrans, mais ça elles s'en aperçoivent trop tard, quand ledit chérubin commence à leur causer des ennuis. Dur, dur !!!
Allez, on profite de ce répit estival et on retrouve la banane pour entamer une nouvelle année, parce qu'on a des
qui font qu'on y croit encore, et qu'on aime profondément la mission qu'on a acceptée !
En attendant, on va se faire un bel été d'amour, d'écriture, de lecture, de voyages entre Irlande et France, de petits bonheurs...
Multiversum de Leonardo Patrignani
Editions Gallimard Jeunesse - 7 mai 2013 - 333 pages - traduit de l'italien par Diane Ménard
Résumé
Alex vit en Italie, Jenny en Australie. Ils ont seize ans. Un lien subtil les unit depuis toujours : un dialogue télépathique qui surgit sans prévenir, dans un état d'inconscience. Jusqu'au moment où les adolescents décident de se rencontrer pour la première fois. Mais le jour de leur rendez-vous, ils sont là tous les deux au même endroit, cependant ils ne peuvent se voir... Ils découvrent qu'il existe une infinité d'univers parallèles et que la réalité qui les entoure n'est qu'une de ses multiples dimensions. Une vérité qui bouscule totalement leur existence, détruisant toute certitude sur leur monde. Comment Alex et Jenny pourront-ils se retrouver pour vivre leur amour ? Alors même que leur destin semble lié à celui, inéluctable, de la Terre...
Mon avis
Un roman dont le rythme s'essouffle un peu à partir des 2/3, c'est dommage ! à force de nous faire patienter et de ne pas vouloir nous dévoiler trop vite les éléments de compréhension de l'histoire, l'auteur a bien failli me perdre. Mais non, j'ai tenu jusqu'au bout, finalement...
Les personnages d'Alex, et de Marco surtout, sont très sympas et agréables à suivre dans leurs aventures, mais j'ai trouvé Jenny un peu falote, sans grande consistance, par rapport aux garçons. Quant aux autres personnages secondaires, on sent bien qu'ils ne servent que de prétextes à distiller des infos au fur et à mesure du texte.
L'auteur développe la notion de multivers qui est intéressante ; je l'avais déjà rencontrée dans les 9 princes d'Ambre de Roger Zelazny (10 tomes d'inégale valeur mais superbe histoire...). Pouvoir ainsi passer d'un monde à l'autre et voir les infinies possibilités que peut prendre une seule vie, ça donne le vertige, mais aussi peut faire voir la vie autrement, non ?
Une lecture agréable, mais pas non plus de celles qui font tourner les pages à l'allure grand V. Peut-être irai-je jeter un coup d'oeil au tome 2 à sa sortie.....
Les murmures de la terre de Véronique Biefnot
Editions Héloïse d'Ormesson - 31 mai 2012 - 479 pages
Résumé
Frappée d’amnésie, hantée par d’insoutenables cauchemars, Naëlle, malgré l’aide de Simon, n’a plus goût à la vie. Son compagnon l’incite à entreprendre un trekking méditatif en Bolivie, pour échapper à ses tourments et tenter de cicatriser ses blessures émotionnelles. Loin des sentiers touristiques, au cœur d’une nature spectaculaire, Naëlle va chercher à se reconstruire, à remonter la chaîne du souvenir, à reconstituer la trame de sa vie. Ayant atteint la communion avec la faune et la flore tropicale, elle parviendra au cours d’une transe à renouer avec son passé refoulé. Mais Simon, sans nouvelle, la croit disparue, en danger. Commence pour lui une quête non moins initiatique.
Décor andin et ambiance chamanique tissent la toile de fond de cette aventure qui aborde une réflexion profonde sur l’amour et la sexualité. Entre Naëlle, à la recherche d’elle-même, et deux hommes épris d’elle, s’engage un véritable thriller amoureux.
Mon avis
J'avais chroniqué il y a un an tout juste la première partie de ce roman : Comme des larmes sous la pluie que j'avais plutôt aimé. Cependant, on peut lire celui-ci sans avoir lu le premier.
La quête de Naëlle nous mène en Bolivie où elle part pour un trekking méditatif offert par Simon, son compagnon. Cette randonnée en elle-même ne lui apporte pas la connaissance et l'apaisement attendus mais elle y rencontre Makon, qui va l'accompagner ensuite dans ses aventures chamaniques.
C'est bien écrit, les personnages croisés sont intéressants voire attachants et on tourne les pages très vite, impatients de savoir comment va se terminer l'histoire. Un bon dimanche de lecture !
PS : Je vous conseille, ensuite, de faire un petit tour sur le carnet de Lili, la mère de Naëlle.
Fugue vénitienne de Marie-Claude Jay
Editions de Borée - Collection Terres de Femmes - 2013 - 285 pages
Trompée par son mari, tyrannisée par ses enfants en pleine crise d'adolescence, Clarisse craque !
Finies l'épouse idéale et la mère parfaite, Clarisse part à la reconquête de sa vie.
Malgré les conseils de son entourage, elle est bien décidée à ne plus fermer les yeux. De rencontres fortuites en voyages impromptus, retrouver sa liberté ne se fait pas sans heurts ni désillusions.
C'est alors qu'en solitaire, elle se décide pour une escapade vénitienne...Et si la magie de la ville des amoureux pouvait tout changer ?
Mon avis
Un livre réaliste qui se laisse lire sans problème. Les personnages sont vrais, tant les enfants ados-adultes que les parents, hommes et femmes. Le ton est juste même si le constat est rude et le jugement parfois un peu manichéen.
A lire pour passer un vrai bon moment.
Juliette forever de Stacey Jay
Editions Milan - Collection Macadam - 25.01.2012 - 341 pages - Traduit de l'anglais par Amélie Sarn
Résumé
Oubliez tout.
Oubliez Roméo qui se tue pour Juliette.
Oubliez Juliette qui se tue pour Roméo.
La vérité ? Les deux amants sont devenus immortels.
mais ennemis à jamais. Depuis quatre siècles,
Roméo s'acharne à séparer ceux qui pourraient
s'aimer, quand Juliette doit tout faire pour les réunir.
Entre les deux anciens amants, tous les coups
sont permis. Car l'amour a fait place à la haine.
Pour toujours. Vraiment?
Mon avis
Le début est un peu confus et j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire. Même si l'auteur ne veut pas nous en dire trop au début, il nous faut quand même quelques "billes" pour pouvoir comprendre, surtout si on connaît bien la pièce originale de Shakespeare....
Alors nous y voilà : Arielle n'est pas Arielle mais Juliette et Dylan n'est pas Dylan mais Roméo ! Une fois ça acquis, on danse une valse-hésitation : je rabiboche Gemma et Ben, mais je m'aperçois que j'aime Ben à qui je crains que Roméo fasse du mal et je ne sais plus où est Nourrice et finalement je vais peut-être m'entendre avec Mélanie, la mère d'Arielle... Roméo et Juliette ne s'aiment plus, trop dur pour eux...
Bref, vous l'aurez compris, je n'ai pas vraiment accroché !! Ce que je sais, c'est que je n'achèterai pas le tome 2, Romeo forever. S'il me tombe sous la main, j'y jetterai peut-être un oeil mais sans plus. Tellement d'autres ouvrages m'attendent dans ma PAL !!!