Articles de alliancecoaching17
Robe de marié de Pierre Lemaître
Edition Le Livre de Poche - Date de sortie : 20 janvier 2010 - ISBN 9782253 120605 - 314 pages
4è de couv'
Nul n'est à l'abri de la folie. Sophie, une jeune femme qui mène une existence paisible, commence à sombrer lentement dans la démence : mille petits signes inquiétants s'accumulent puis tout s'accélère. Est-elle responsable de la mort de sa belle-mère, de celle de son mari infirme ? Peu à peu, elle se retrouve impliquée dans plusieurs meurtres dont, curieusement, elle n'a aucun souvenir. Alors, désespérée mais lucide, elle organise sa fuite; elle va changer de nom, de vie, se marier, mais son douloureux passé la rattrape... Les ombres de Hitchcock et de Brian de Palma planent sur ce thriller diabolique.
Mon avis
J'avoue ne pas encore avoir lu Au revoir là-haut qui a valu à l'auteur le prix Goncourt 2013 et dont tout le monde a parlé, parle et parlera ; shame on me !! Par contre j'ai lu Trois jours et une vie dont j'ai aimé la plume. Alors j'ai sorti celui-ci de ma PAL pour voir si le plaisir de lire cet auteur se confirme.
Eh bien, c'est oui !! Une maîtrise parfaite de cette intrigue diabolique, une tension qui monte de page en page, et un dénouement que je n'ai entrevu qu'à quelques dizaines de pages de la fin, font de ce roman un très bon moment de lecture.
Dans la première partie, sans toutefois s'attacher au personnage, on plaint Sophie pour ce qui lui arrive, mais la deuxième partie est une claque. Les deux dernières nous mènent vers la conclusion, avec des poussées d'adrénaline, nous incitant presque à regarder derrière nous pour vérifier que l'on n'est pas suivi... Par contre, je n'ai pas ressenti d'émotion autre que de la peur devant l'implacable froideur avec laquelle s'enchaînent les évènements, pas d'empathie envers les personnages.
C'est très réussi !! et je vous recommande vivement cet auteur très sympathique, vu à la Grande Librairie il y a quelques mois pour la promotion de son dernier roman. Pour ma part, il me reste Axel et Cadres noirs dans ma PAL.
Ma note 17
Engrenages - saisons 1 à 5
Je suis fan absolue de cette série française, qui se bonifie au fur et à mesure !!
Pour l'instant il y a eu 5 saisons, la 6è est en tournage depuis mai et jusqu'en décembre 2016, c'est Mr Internet qui l'a dit !! J'aimerais ça assister à un tournage... La créatrice d'Engrenages, Alexandra Clert, est auteur, scénariste, mais également avocate pénaliste, ce qui explique qu'elle nous guide avec aisance dans les arcanes de la Justice.
Chaque saison s'attaque à un problème actuel de notre société : drogue, prostitution, sans-papiers... mais plusieurs autres fils narratifs nous permettent de suivre le travail du juge d'instruction, du procureur, d'un groupe de la DPJ dans leur quotidien. C'est parfois violent, mais très réaliste d'après des professionnels qui ont suivi cette série. J'ai été très surprise de constater comment la justice que, naïvement, je croyais indépendante, est en fin de compte très liée à la politique, et que de l'esprit à la lettre, il y a l'humain avec ses intérêts personnels, ses petits compromis, ses compromissions parfois aussi,
Les scénarios sont cousus au petit point, avec des cliffhangers de ouf ! les personnages magnifiques, tellement humains, nous faisant passer par toute une palette d'émotions et d'interrogations. Je me suis souvent demandée : "et moi, dans cette situation, j'aurais fait quoi ?" lorsque les personnages étaient confrontés à des dilemnes, tant professionnels que personnels. On les suit dans leurs doutes, leurs failles, leurs hésitations, leurs erreurs parfois aussi. Il faut dire qu'ils sont très vivants ces personnages, j'ai l'impression de les connaître, comme des copains que j'ai du mal à quitter à la fin. Les deux personnages féminins principaux, la capitaine Laure Berthaud et l'avocate Joséphine Karlsson sont particulièrement géniales. La première, hyper investie, qui ne lâche rien, intuitive et parfois chien fou ; la seconde, tordue, jusqu'auboutiste, mais tellement fragile aussi. Chez les hommes, il y a Gilou, le nounours maladroit, super pote, que je kiffe particulièrement, et aussi le juge Roban, figure centrale de la série. Les acteurs surjouent parfois un tantinet, mais ça s'arrange au fil des épisodes. Dès la saison 2, on sent que l'équipe s'est installée dans ses rôles...
Prise au piège dès la saison 1 que j'ai achetée, au hasard, lors d'une promotion sur les DVD, j'ai acheté ensuite en numérique les 4 autres saisons, que j'ai visionnées à la suite les unes des autres, en redoutant d'arriver au dernier épisode de la 5è. Addicte que j'étais !! Manger ? Dormir ? Sortir ? zut mais j'ai pas fini cet épisode... et puis je veux savoir la suite... Complètement immergée dans l'histoire au point parfois de penser faire partie de l'équipe de Berthaud.
Bref, vous l'aurez compris, je vais avoir beaucoup d'impatience pour la saison 6 que je vais attendre en revisionnant tout, plus lentement, en prêtant attention aux détails que j'aurais pu louper, et notamment m'inspirer du travail sur les scènes de crime pour étoffer le roman que j'écris en ce moment.
Une série que je vous recommande +++ et qui plus est, française, cocorico !!
L'improbabilité de l'amour d'Hannah Rothschild
Editions Belfond - Date de sortie : 7 avril 2016 - ISBN 9782714 469014 - 701 pages - Traduction de Valérie Bourgeois
4è de couv'
Ce jour-là à Londres, les flashes crépitent devant la maison de vente aux enchères Monachorum & Sons. Des collectionneurs de tous bords aux puissants marchands d'art, des oligarques russes aux magnats du pétrole, du rappeur esthète à la star du sport, tous défilent pour une des plus grosses ventes de l'histoire ; celle de L'improbabilité de l'amour, un tableau d'Antoine Watteau, disparu au milieu du XXè et miraculeusement retrouvé.
Celle qui, par un incroyable hasard, a remis la main sur le trésor dans une petite brocante poussiéreuse se nomme Annie McDee. Fascinée par la poésie et le raffinement du tableau, cette jeune chef cuisinière au coeur tendre va entreprendre d'en percer les secrets. Un périple à travers l'Histoire qui verra l'inestimable toile voyager de l'atelier parisien d'un peintre du XVIIIè à cette petite échoppe londonienne d'aujourd'hui, en passant par les salons cossus de la grande aristocratie européenne.
Mon avis
Pas de suspense, j'ai beaucoup aimé ce roman. Intelligent, documenté, peut-être un poil trop long à mon goût (ça s'essouffle un peu vers les p.250 et 430), mais tellement riche en informations et en intrigues de toutes sortes.
Plus j'avançais dans l'histoire, plus je pensais aux poupées russes, tant il y avait de fils narratifs qui tous finissaient par se rejoindre, le coeur du roman étant ce petit tableau trouvé par Annie dans une brocante et autour duquel tournent, depuis sa création en 1703, collectionneurs envieux, marchands d'art, musées... En cela, la construction du roman est très réussie, foisonnante de destins entrecroisés.
Les personnages sont très réussis, pas des super-héros, mais un panel de gens avec leurs failles et leurs faiblesses : les jouisseurs, les esthètes et ceux aussi qui se contentent d'une vie sans relief. Beaucoup s'interrogent à un moment ou à un autre sur ce qui les fait avancer.
Le tableau est lui-même un personnage qui s'adresse au lecteur, lui confie son histoire, ses émotions, ses peurs, ses réflexions sur l'art et la beauté. "La beauté a toujours nourri la brutalité et le désir de posséder, et le pillage est un des visages immuables de la guerre. (...) Je ne cherche pas à vous faire un cours d'histoire, cher lecteur, mais juste à vous éclairer sur le pouvoir de l'art et sur toutes les extrémités, bonnes ou mauvaises, auxquelles il peut pousser." (p.473)
Je vous recommande donc chaudement cette lecture enrichissante et assez atypique quant au sujet.
Ma note 17
Quelle semaine de lecture pour moi ? #56
Cette semaine j'ai assez peu lu, environ 800 pages. Il faut dire que le livre en cours est une brique de 700 pages, très richement documenté qui ne se lit pas comme un roman Harlequin. J'en suis à la page 550.
*j'ai terminé
(cliquer sur l'image pour voir mon billet)
*j'ai commencé
Un trésor découvert par hasard dans une brocante par une jeune chef cuisinière. Un périple à travers l'Histoire qui verra l'inestimable toile voyager de l'atelier parisien d'un peintre du XVIIIè à cette échoppe londonienne, en passant par les salons cossus de la grande aristocratie européenne. Une enquête passionnante sur l'histoire tour à tour merveilleuse et dramatique d'un chef d'oeuvre perdu. Mais également une critique espiègle du monde de l'art d'aujourd'hui, une réflexion subtile sur tout ce qui fait la valeur d'une oeuvre.
Cette semaine j'ai prévu de
*terminer : L'improbabilité de l'amour d'Hannah Rothschild
*lire : Robe de Marié de Pierre Lemaitre - Au paradis des manuscrits refusés d'Irving Finkel
*commencer : Un dernier tour de valse d'Inès de Kertanguy
Et pour vous, quel est le programme ?
Les yeux couleur de pluie de Sophie Tal Men
Editions Albin Michel - Date de sortie : 4 mai 2016 - ISBN 9782226 320995 - 259 pages
4è de couv'
Les tribulations d’une étudiante en médecine affectée à Brest du jour au lendemain. Le bout du monde à ses yeux…
Pour Marie-Lou, c’est une nouvelle vie qui commence, loin des siens, de ses montagnes… L’insouciance et la légèreté de ses vingt-cinq ans se mêleront à la dure réalité de l’hôpital, des gardes aux urgences, du contact avec la maladie. Au beau milieu de la nuit, cette savoyarde en ciré jaune croisera Matthieu, surfeur et accessoirement interne d’ORL. Ce loup solitaire, mystérieux et poétique, arrivera t-il a lui faire une place dans sa vie ?
Rencontres, passions, non-dits, doutes... l'histoire d'un envol, l'histoire d'une vie.
Mon avis
Voilà un feel-good book pour l'été, une petite romance sans grande surprise, mais plaisante à lire, grâce à une plume fluide et un rythme donné par les dialogues. Par contre les personnages sont peu fouillés et l'intrigue un peu survolée. La narratrice navigue avec aisance dans le service de neurologie grâce à l'expérience professionnelle de l'auteur, elle-même médecin.
A lire entre deux romans plus "consistants", pour de la pure détente.
Ma note 14,5
Le sang des dieux et des rois T1 d'Eleanor Herman
Editions Robert Laffont - Collection R - Date de sortie : 21 avril 2016 - ISBN 9782221 188934 - 452 pages - Traduction de Madeleine Nasalik
4è de couv'
A 16 ans, Alexandre, héritier du trône de Macédoine, est en passe de découvrir son destin de conquérant, mais se trouve irrésistiblement attiré par une nouvelle venue... Katerina doit naviguer dans les eaux troubles des intrigues de cour tout en taisant sa mission secrète : tuer la reine. Mais c'est sans compter sur son premier amour... Jacob est prêt à tout sacrifier pour gagner le coeur de Katerina, même si cela signifie se mesurer à Hephaestion, tueur sous la protection d'Alexandre. Et, par-delà les mers, Zofia, princesse persane fiancée à Alexandre sans l'avoir rencontré, désire changer sa destinée en partant en quête des légendaires et mortels Mangeurs d'Esprit.
Mon avis
Très alléchée quand il est question de la Grèce Antique dans un résumé, j'attendais sans doute trop de ce roman de fantasy. Ce premier tome met en place l'univers et les personnages. L'auteur réécrit un moment de la jeunesse d'Alexandre le Grand et use de la magie. On y parle griffeux et pégases, des animaux fantastiques. Olympias, la mère d'Alexandre, manie les serpents.
On suit principalement la vie au palais de Philippe de Macédoine, le père d'Alexandre. Une vie rythmée par les tournois, les trahisons, les intrigues. Les alliances se nouent et se défont. Chacun des sept personnages principaux suit sa propre quête ou mission.
L'écriture est facile et agréable à suivre, mais je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages (à part vers la fin), ni à l'histoire, car ce n'est que dans le troisième tiers du livre que l'on comprend où l'on va, après quelques longueurs, il faut bien le dire, notamment dans les scènes de bataille.
En bref, je l'ai lu jusqu'à la fin, mais ne suis pas sûre de lire le T2 quand il sortira.
Ma note 15.5
Quelle semaine de lecture pour moi ? #55
Cette semaine a été une bonne semaine de lecture , avec environ 1630 pages lues. J'ai aussi bien écrit !!
*j'ai terminé
(cliquer sur l'image pour voir mon billet)
*j'ai lu
*j'ai commencé
Les tribulations d’une étudiante en médecine se retrouvant affectée à Brest du jour au lendemain. Le bout du monde à ses yeux… Rencontres, passions, non-dits, doutes... l'histoire d'un envol.
Cette semaine j'ai prévu de
*terminer : Les yeux couleur de pluie de Sophie Tal Men
*lire : Robe de Marié de Pierre Lemaitre - Au paradis des manuscrits refusés d'Irving Finkel
*commencer : L'improbabilité de l'amour d'Hannah Rothschild
Et pour vous, quel est le programme ?
Mes achats de mai 2016
Ce mois-ci, j'ai été relativement raisonnable ;-) Ce sont 21 livres qui sont entrés dans ma PAL, dont 3 déjà lus et 2 en cours.
Une bien jolie nouveauté
« Les Souliers Rouges » un conte musical de Fabrice Aboulker et Marc Lavoine.
L'association de ces trois-là est un vrai régal ! Bien vu pour ce premier extrait...
Plume fantôme d'Isabel Wolff
Editions France Loisirs - Date de sortie : 6 mai 2015 - ISBN 9782298 111033 - 375 pages - Traduction de Denyse Beaulieu
4è de couv'
Jenni est ghostwriter (nègre), qui prête sa « plume fantôme » aux autobiographies de ses clients. Ce travail lui convient parfaitement - toujours hantée par une tragédie de son enfance, elle préfère se réfugier dans les souvenirs d'autrui plutôt que de ressasser les siens.
Klara, petite fille pendant la Seconde Guerre mondiale, a passé plusieurs années dans un camp d'internement à Java, sous l'occupation japonaise. Elle n'a jamais parlé de ce qu'elle y a vécu, mais à l'approche de son quatre-vingtième anniversaire, elle comprend qu'il est temps de partager l'extraordinaire récit de sa survie.
Tout en amenant Klara à raconter son enfance et à dévoiler un épisode méconnu de l'histoire mondiale, Jenni est contrainte de revenir sur son propre passé. Jenni et Klara pourront-elles s'aider l'une l'autre à apaiser leurs fantômes ?
Mon avis
J'ai beaucoup aimé ce roman où alternent l'histoire de Jenni, la narratrice, et celle de Klara dont elle est la plume fantôme. Chacune d'elles a vécu un drame et écrire l'histoire de Klara, vieille dame de quatre-vingts ans va permettre à Jenni de faire face au drame qu'elle-même a vécu vingt-cinq ans auparavant, précisément dans le village de Klara. La confiance entre ces deux femmes est immédiate et elles se livrent peu à peu leurs secrets enfouis.
J'avais déjà lu un ou deux romans de l'auteur (Les mésaventures de Minty Malone et Un amour vintage) dont je me rappelais la plume humoristique. J'ai donc été enchantée de la trouver dans un autre registre. Le propos historique (sur l'internement des colons hollandais par les japonais à Java) est riche et documenté, sans en faire des tonnes, juste de quoi alimenter le récit de la vieille dame. Les deux protagonistes sont émouvantes dans leur souffrance et on souhaite avec elles l'apaisement. L'écriture est fluide, rythmée. Les émotions fortes sont au rendez-vous.
Une histoire passionnante qui montre le pouvoir et la force des mots pour surmonter les drames, un roman que je vous recommande vivement.
Ma note 17.5
Nouvelles...d'ailleurs du Un - Collectif
Edition Le Un - Date de sortie : Mai 2016 - ISBN 3700952 501347 - 93 pages
4è de couv'
Racontez-nous un ailleurs !
Il n'en fallait pas plus pour faire naître chez les auteurs conviés des envies de dépaysement littéraire. Onze nouvelles, en comptant l'indispensable Guy de Maupassant, pour un été nomade.
L'évasion au coin de la page.
Mon avis
Ce recueil est à l'initiative du 1 (l'hebdomadaire d'Eric Fottorino) et de François Busnel de La Grande Librairie.
Guy de Maupassant : vapeurs d'éther pour quatre hommes - Irène Frain : jolie variation autour du mot ailleurs et de souvenirs d'enfance - Leïla Slimani : magnifique éloge à l'ailleurs à travers la littérature - Nancy Huston : réflexion amère sur le dé-paysement - Erri de Luca : hommage à Borges à Buenos Aires - Patrick Grainville : évocation de Picasso et Nicolas de Staël à Antibes ("l'increvable et l'éphémère") - Dany Laferrière : petites "vignettes" sur des peintres de chez lui - William Boyd : découverte du Brésil par une tournée des clubs de samba à Rio dans le quartier Lapa - Marie-Hélène Lafon : nous donne à voir son Bois, avec son style inimitable d'énumérations et très visuel - Michel Quint : une "vraie" nouvelle à chute - Tahar ben Jelloun : Moment intense avec Ava dans la nuit du désert.
En résumé, un recueil dans l'ensemble plaisant à lire, grâce à de grandes plumes qui ont interprété le mot "ailleurs" à leur manière.
Ma note 16
Before you Break de Christina Lee
Editions Hachette - Collection Black Moon - Date de sortie : 3 février 2016 - ISBN 9782013 974127 - 282 pages - Traduction de Tiphaine Scheuer
4è de couv'
Elle, est bénévole dans une hotline de soutien psychologique.
Lui, est Daniel quand il appelle cette hotline.
Eux, combattent la souffrance de manière radicalement différente.
Mon avis
Ce roman est le 2è tome de la saga Between Breaths, dont chacun, mettant en scène des personnages nouveaux, peut être lu séparément.
La force de ce roman new adult tient à ses deux personnages Ella et Quinn dont les points de vue alternent pour nous faire vivre cette période charnière de leur vie : faire le deuil pour l'un de Sebastian, pour l'autre de Christopher. Ils vont s'y aider mutuellement, chacun à sa manière.
On suit la vie des étudiants dans une université américaine, avec ses beuveries, ses fêtes, les fraternités, les sororités, le sport. On parle famille et passions, passé envahissant et trahisons, suicide adolescent, quand la vie paraît trop difficile pour continuer à avancer. Mais le roman parle surtout d'espoir quand on sait trouver les bons interlocuteurs, et de l'amour qui sauve.
La narration est fluide, les émotions au rendez-vous. Un bon moment de lecture que je vous recommande.
Ma note 15.5